Lu dans Le Parisien d'aujourd'hui :
Le piège de l’horodateur
Alexandre se souviendra de son entretien d’embauche à Boulogne-Billancourt. Une fois garé [garé ? il y a bien plusieurs stations de métro à Boulogne !], il réalise qu’il n’a pas de monnaie sur lui [il prend sa bagnole, mais ne prévoit pas de monnaie pour stationner ?] pour assouvir l’appétit de l’horodateur. Pas grave, il retire de l’argent, puis demande des pièces en échange d’un billet aux rares commerçants ouverts [Méchants commerçants, pas ouverts quand ça arrange Alexandre !]. Avec à chaque fois la même réponse : « Désolé, mais on ne fait plus la monnaie. Il y a trop de gens qui nous en demandent. » [Alexandre ne pense pas acheter quelquechose à ces commerçants pour obtenir de la monnaie ? Alexandre est bouché ?] Alexandre était arrivé en avance, mais l’heure du rendez-vous pour l’entretien d’embauche approche. De guerre lasse, il se voit contraint d’abandonner sa voiture sans le précieux ticket. [Même pas foutu de mettre un mot d'explication ?] Et ce qui devait arriver arriva : à son retour, un papillon vert orne le pare-brise. Furieux, Alexandre se fend d’un courrier au maire. Sa conclusion : « Je tiens à vous remercier d’avoir créé ce piège [Oui, le gros piège du stationnement payant...] et vous demande de transmettre mes amitiés à vos concitoyens qui sont d’une grande courtoisie. » [Ce sont vos concitoyens aussi... le mot "administrés" aurait été plus adapté.]
F.C.
1 comment:
Good grief! That poor fellow who actually wrote to the mayor to thank him for his troubles!
I have a friend who keeps writing letters to the mayor of my town to demand he synchronizes traffic lights that are always out of sync so you always get a red light every block --but to no avail. So we've have been joking everytime we get stuck at a light: "let's write to the mayor!"
I would write this in French but diacritical marks elude my keyboards....
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